19.7.07

Peñarroya réinvente la Poésie Visuelle

Sans renoncer à son riche passé français, Peñarroya-Pueblonuevo s'achemine vers un futur, surtout culturel, de premier ordre grâce à l'initiative particulière de certains citoyens qui on donné de l'élan à un projet qui vient de voir le jour: la création du premier Centre national de documentation de la Poésie Visuelle (CPV), le seul de sa classe qui existe en Espagne.

Les autorités locales ont suivi cette initiative en proportionnant un petit endroit où la poésie locale doit se développer et atteindre de hauts horizons.


Le directeur du CPV, Francisco Aliseda, devant l'une de ses oeuvres

Comme directeur du CPV a été nommé Francisco Aliseda, peintre de la localité habitant d'abord Bilbao et maintenant la province d'Huelva, où il donne jour à sa production artistique. Pour lui, la poésie visuelle "c'est un lieu vide, à mi-chemin entre la parole, la couleur, l'image et le volume, puisqu'on peut construire un poème avec des mots et des objets".

Aliseda a qualifié l'ancien Cerco industriel de la compagnie française SMMP à Peñarroya-Pueblonuevo comme "un lieu de privilège, un rêve accompli, tel que l'ermitage d'un village que n'a pas été valorisé suffisamment".

Francisco Aliseda a créé le magazine Veneno, organe officiel de la poésie visuelle, qu'il dirige et distribue à travers le monde dès le siège du CPV de Peñarroya-Pueblonuevo.

Le poète visuel Guillermo Marín entouré des ruines du Cerco

De son côté, un autre poète visuel de Málaga habitant Tarragona, Guillermo Marín, reconnaît que "peut-être je suis maintenant plus poète visuel qu'avant comme conséquence d'avoir connu ce poème visuel que le Cerco".

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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